Je suis né à Verviers Belgique) en 1789. Je suis le fils de François de Sales-Alexis Biolley et de Marie-Claire Godin.
introduction:
À
l’instar des Simonis, Peltzer, de Grand’Ry, Zurstrassen, etc., la famille
Biolley fut liée, pendant plusieurs générations, à l’essor de notre industrie
de la laine et à la vie politique et sociale de notre cité.
Cela
explique pourquoi, la plaque indicatrice se limite au seul patronyme ; en
effet, l’on a voulu commémorer l’ensemble de la famille.
Son
berceau se situe à Salanches, dans le Comtat Venaissin, en Savoie. Tandis
qu’une branche s’implantait directement à Verviers, l’autre séjourna à
Augsbourg, avant de venir à Verviers ; les généalogistes l’appellent donc la «
branche d’Augsbourg ».
Dès 1725, il existe une entreprise lainière : Jean-François Biolley & fils, qui, au fil des ans, occupera jusqu’à 2.000 ouvriers dans trois locaux : en Sommeleville derrière la résidence de la famille , « el cour Madame », « el cour Mouni » rue Biolley, et « aûs Capucins » rue de Limbourg
Rapidement implantés dans la ville publique de notre cité,
les Biolley vont lui donner une série de bourgmestres, pendant la seconde
moitié du 18e siècle.
Renier en dresse ainsi le tableau :
Renier en dresse ainsi le tableau :
Jean-François (1745) - Jean-Hubert, dit d’Augsbourg (1764) –
Jean-François (1766) – Pierre-Hubert (1768) – Jean-François d’Augsbourg (1771)
– Tomas (1789) – Jean-François (1791) ; en 1792, ce dernier est capitaine à la
Garde civique, y commandant la « compagnie Sècheval »
.
On
se rappellera que, sous l’ancien régime, deux bourgmestres exerçaient
simultanément leur mandat pendant deux ans ; un seul était élu chaque année,
exerçant son pouvoir pendant un an, et rééligible.
Les familles Biolley et Simonis furent unies par diverses alliances et
coopérèrent fréquemment sur le plan industriel.
À
la révolution française, les Biolley et Simonis se retirèrent à Hambourg et
Brûnswick, mais ils furent promptement autorisés à rentrer à Verviers ; nous
retrouvons la firme Jean-François Biolley frères et associés.
Jean-François Biolley est maire par intérim pendant l’absence du
bourgmestre David (16 novembre 1800 – février 1801).
Dans le texte relatif à la « rue Raymond », on apprend que c’est le 4
mai 1843, que Raymond de Biolley et ses descendants, reçurent le titre de
vicomte et la particule.
Il fut appelé à saluer, en même temps que notre roi et notre reine, la
reine Victoria, de Grande-Bretagne, à la gare de Verviers, en août et septembre
1845, lors du passage, à l’aller et au retour, de cette souveraine à l’occasion
d’un voyage en Allemagne.
Il fut échevin et bourgmestre, et siégea à la commission des Hospices
civils.
Ce n’est pas d’aujourd’hui que l’industrie traverse des crises
économiques : la fin du siècle dernier mit un terme à l’activité étonnante de
cette laborieuse famille.
C’est de Sallanches, en Haute-Savoie, qu’est originaire la famille Biolley.
On y rencontre, en effet, au début du XVIIe siècle, un Jacques Biolley dont les descendants demeurent à Sallanches pendant quatre générations.
À l’entame du XVIIIe siècle, François de Sales-Alexis et Jean-François, représentants de la 3e génération, quittent la Savoie pour faire fortune.
Le premier surtout est identifié du côté d’Augsbourg, à Prague, à Nüremberg et dans le pays de Liège. Avec son frère, il mène diverses activités liées au monde de la banque et de l’industrie.
On les retrouve ensuite à Verviers, où Jean-François (Joseph) Biolley semble être le premier de la famille à s’installer comme producteur de draps.
En bord de Vesdre voit le jour, en 1725, une manufacture de tissage de laine et de draps appelée à connaître une grande expansion. La société associe l’ensemble des membres de la famille de Jean-François et de François de Sales Biolley, l’aîné de la fratrie. Son fils, Jean-François Biolley , né lui aussi à Sallanches, reprendra les affaires de son oncle sur les bords de la Vesdre
ma maman
Née en 1761 Décédée en 1796 , à l’âge de 35 ans
Décédée très jeune aucune biographie trouvée
enfants
Raymond de Biolley 1789-1846
Edouard de Biolley 1790-1851
Marie-Anne Simonis
Verviers 17/01/1758, château de Hodbomont (Theux) 21/11/1831
Au XVIIIe siècle, ils fournissent des bourgmestres à la « Bonne ville » de la principauté de Liège ; c’est notamment le cas de Jacques Joseph Simonis (1717-1789), également seigneur de Barbençon et de Senzeille.
De son mariage en 1745 avec Marie-Agnès
Dieudonné de Franquinet (1726-1799) sont nés une dizaine d’enfants, parmi
lesquels Marie-Anne (la sixième) et Jean-François Dieudonné, le cadet de la
famille, dit Iwan Simonis (1769-1829), qui sera considéré, sous le régime
français, comme l’homme le plus riche du pays wallon.
Le climat redevient plus propice au développement
de la fabrication drapière ; de France viennent à Verviers de jeunes
entrepreneurs soucieux d’apprendre le métier auprès d’une entreprise de pointe
; Marie-Anne Simonis les accueille, comme elle le fait d’ailleurs avec un
mécanicien anglais recruté par son frère : en 1799, William Cockerill va
apporter aux Biolley et aux Simonis les perfectionnements techniques qui
placeront leurs industries loin devant toute la concurrence.
Et la réussite fut au rendez-vous. Elle se traduisit par l'acquisition de grandes propriétés foncières et autres hôtels majestueux. mon papa:
Sallanches (Haute-Savoie) 21/01/1687,
Augsbourg 01/11/1769
Augsbourg 01/11/1769
C’est de Sallanches, en Haute-Savoie, qu’est originaire la famille Biolley.
On y rencontre, en effet, au début du XVIIe siècle, un Jacques Biolley dont les descendants demeurent à Sallanches pendant quatre générations.
À l’entame du XVIIIe siècle, François de Sales-Alexis et Jean-François, représentants de la 3e génération, quittent la Savoie pour faire fortune.
Le premier surtout est identifié du côté d’Augsbourg, à Prague, à Nüremberg et dans le pays de Liège. Avec son frère, il mène diverses activités liées au monde de la banque et de l’industrie.
On les retrouve ensuite à Verviers, où Jean-François (Joseph) Biolley semble être le premier de la famille à s’installer comme producteur de draps.
En bord de Vesdre voit le jour, en 1725, une manufacture de tissage de laine et de draps appelée à connaître une grande expansion. La société associe l’ensemble des membres de la famille de Jean-François et de François de Sales Biolley, l’aîné de la fratrie. Son fils, Jean-François Biolley , né lui aussi à Sallanches, reprendra les affaires de son oncle sur les bords de la Vesdre
ma maman
Marie Claire Reine Hubertine Reine Godin
Née en 1761 Décédée en 1796 , à l’âge de 35 ans
Décédée très jeune aucune biographie trouvée
enfants
Raymond de Biolley 1789-1846
Edouard de Biolley 1790-1851
mon épouse :
Marie-Anne Simonis
épouse BIOLLEY
Originaires de la région de Polleur où leur présence est
attestée dès le XVe siècle, les Simonis se sont installés comme marchands sur
la place du Marché, à Verviers, à la fin du XVIe siècle.
Au XVIIIe siècle, ils fournissent des bourgmestres à la « Bonne ville » de la principauté de Liège ; c’est notamment le cas de Jacques Joseph Simonis (1717-1789), également seigneur de Barbençon et de Senzeille.

Par les liens du mariage,
les Simonis se sont unis à plusieurs familles actives dans le travail et le
commerce de la laine.
C’est le cas de Marie-Anne qui, en décembre 1777, épouse
Jean François Biolley, seigneur de Champlon. Cousine de sa belle-mère,
Marie-Anne Simonis unit ainsi sa destinée à celui qui aura à diriger la «
Maison François Biolley et fils », à partir de 1790 ; de ce mariage, il n’y
aura pas de descendant.
Pendant plusieurs années, Marie-Anne Simonis fréquente
régulièrement les milieux mondains qui se retrouvent à Spa, la cité thermale
internationale.
Par son érudition, elle se tisse un réseau de relations à travers l’Europe. Elle en bénéficie lorsque les troubles révolutionnaires surviennent en principauté de Liège à partir de l’été 1789 ; lorsque la crise se prolonge, elle trouve refuge du côté de Hambourg et de Brunswick (vers l’hiver 1794-1795), avant de rentrer à Verviers (vers 1797) alors devenue cité de la République française.
Par son érudition, elle se tisse un réseau de relations à travers l’Europe. Elle en bénéficie lorsque les troubles révolutionnaires surviennent en principauté de Liège à partir de l’été 1789 ; lorsque la crise se prolonge, elle trouve refuge du côté de Hambourg et de Brunswick (vers l’hiver 1794-1795), avant de rentrer à Verviers (vers 1797) alors devenue cité de la République française.
Palliant les importants problèmes de santé de son mari,
Marie-Anne Biolley-Simonis parvient à s’entourer de conseillers et de
directeurs avisés et, déjà du vivant de J-F. Biolley, elle apparaît comme la
patronne de la « Maison François Biolley et fils », fonction qu’elle assumera
jusqu’à sa disparition en 1831. Sans enfant, elle avait repéré et choisi
Raymond Biolley pour leur succéder. Très impliquée dans les œuvres caritatives
catholiques, elle émerge comme une figure étonnante du capitalisme wallon du
début du XVIIIe siècle.
Après les innovations introduites par Cockerill dans le cardage et la filature, la société de M-A. Simonis est l’une des premières à introduire la mule-jenny (1818) et la tondeuse mécanique (1821). Avec JulesGrand Ry, elle est la fondatrice, en 1822, de la première filature de laine peignée du pays ; la société est équipée d’une machine à vapeur.
Après les innovations introduites par Cockerill dans le cardage et la filature, la société de M-A. Simonis est l’une des premières à introduire la mule-jenny (1818) et la tondeuse mécanique (1821). Avec JulesGrand Ry, elle est la fondatrice, en 1822, de la première filature de laine peignée du pays ; la société est équipée d’une machine à vapeur.
Cette femme fut un véritable capitaine dans
l’industrie naissante du textile à Verviers, Eupen et Courtrai
Orphelin de bonne heure, le jeune Raymond Biolley fut bientôt appelé à prendre part aux travaux dirigés par sa tante, madame Biolley de Champlon. Il se trouvait là au milieu d’hommes marquants et fut bientôt en état d’être chargé de la direction de la succursale établie à Cambrai. En 1818, il épousa la nièce chérie de madame Biolley, Marie-Isabelle Simonis.
Il acquit dès lors une position prépondérante dans les aifaires de la maison et il la justifiait par ses talents et son zèle infatigable. Il se rendit en Angleterre pour y étudier de près les merveilleux rouages de la prospérité matérielle de ce pays et attira à Verviers des ingénieurs et des mécaniciens anglais.
Quoiqu’il s’occupât de toutes les parties de l’industrie lainière, il s’attacha spécialement à produire les draps avec une perfection telle que la France ni l’Angleterre ne lui contestaient point le premier rang. Il imprimait en même temps une vive impulsion aux exportations transatlantiques.
On ne lit pas sans un juste sentiment d’orgueil national, ce que rapporte le célèbre voyageur Caillié, le premier Européen qui pénétra à Tombouctou, que, dans cette vaste foire de l’Afrique centrale, il ne trouva qu’un seul produit des pays civilisés : c’était un coupon de drap sur lequel il lut : « Maison François Biolley et fils, à Verviers. »
Le roi des Pays-Bas, Guillaume Ier, favorisa puissamment ce développement commercial, dans lequel la maison Biolley était secondée par ses parents et alliés, les Simonis, de Grand-Ry, Godin et autres ; il appela l’industriel verviétois à prendre part à divers travaux officiels relatifs à ce sujet et bientôt il lui décerna la décoration, alors fort enviée, de l’ordre du Lion Belgique.
La grande société commerciale des Pays-Bas, Algemeen Handels Maatschappy, le choisit pour directeur. La révolution de 1830 vint suspendre pour un temps assez long l’essor de la production.
Sur ces entrefaites, le décès de madame Biolley de Champlon fut un coup cruel pour son neveu et augmenta les difficultés de sa situation. Après la liquidation, accomplie non sans générosité, de la succession de sa tante dont il fut le principal, mais non l’unique héritier, il se trouva avec son frère unique, Édouard, à la tête de la manufacture de draps.
Au milieu de la prostration complète des affaires, il fut le seul qui continuât à donner du travail à la population ouvrière de Verviers. Extrêmement attentif à tous les progrès, il voyageait fréquemment en France et en Angleterre et aucun sacrifice ne lui coûtait pour mettre en pratique les améliorations nouvelles.
Aussi la fabrication des draps atteignit bientôt son apogée et le chef de cette maison, à laquelle affluaient les distinctions de tout genre, était-il reconnu comme le premier industriel du pays et l’un des plus grands manufacturiers du continent européen.
Un voyageur de passage à Tombouctou fut un jour stupéfait de voir un coupon de drap portant l'indication
«Maison François Biolley et fils, Verviers». Une entreprise familiale que Raymond Biolley (1789-1846)
réussira à faire prospérer au-delà de toute espérance. Raymond de Biolley (il sera fait vicomte en 1843)
était le parfait prototype du chef d'entreprise de la première moitié du XIXe siècle.
À l'affût du progrès technique et d'une hardiesse dynamique dans la recherche de débouchés étrangers. L'exportation n'était pas pour lui un vain mot : le navire qui transportait ses draps aux quatre coins du monde s'appelait... le « Raymond» !
Orphelin de bonne heure, le jeune Raymond Biolley fut bientôt appelé à prendre part aux travaux dirigés par sa tante, madame Biolley de Champlon. Il se trouvait là au milieu d’hommes marquants et fut bientôt en état d’être chargé de la direction de la succursale établie à Cambrai. En 1818, il épousa la nièce chérie de madame Biolley, Marie-Isabelle Simonis.
Il acquit dès lors une position prépondérante dans les aifaires de la maison et il la justifiait par ses talents et son zèle infatigable. Il se rendit en Angleterre pour y étudier de près les merveilleux rouages de la prospérité matérielle de ce pays et attira à Verviers des ingénieurs et des mécaniciens anglais.
Quoiqu’il s’occupât de toutes les parties de l’industrie lainière, il s’attacha spécialement à produire les draps avec une perfection telle que la France ni l’Angleterre ne lui contestaient point le premier rang. Il imprimait en même temps une vive impulsion aux exportations transatlantiques.
On ne lit pas sans un juste sentiment d’orgueil national, ce que rapporte le célèbre voyageur Caillié, le premier Européen qui pénétra à Tombouctou, que, dans cette vaste foire de l’Afrique centrale, il ne trouva qu’un seul produit des pays civilisés : c’était un coupon de drap sur lequel il lut : « Maison François Biolley et fils, à Verviers. »
Le roi des Pays-Bas, Guillaume Ier, favorisa puissamment ce développement commercial, dans lequel la maison Biolley était secondée par ses parents et alliés, les Simonis, de Grand-Ry, Godin et autres ; il appela l’industriel verviétois à prendre part à divers travaux officiels relatifs à ce sujet et bientôt il lui décerna la décoration, alors fort enviée, de l’ordre du Lion Belgique.
La grande société commerciale des Pays-Bas, Algemeen Handels Maatschappy, le choisit pour directeur. La révolution de 1830 vint suspendre pour un temps assez long l’essor de la production.
Sur ces entrefaites, le décès de madame Biolley de Champlon fut un coup cruel pour son neveu et augmenta les difficultés de sa situation. Après la liquidation, accomplie non sans générosité, de la succession de sa tante dont il fut le principal, mais non l’unique héritier, il se trouva avec son frère unique, Édouard, à la tête de la manufacture de draps.
Au milieu de la prostration complète des affaires, il fut le seul qui continuât à donner du travail à la population ouvrière de Verviers. Extrêmement attentif à tous les progrès, il voyageait fréquemment en France et en Angleterre et aucun sacrifice ne lui coûtait pour mettre en pratique les améliorations nouvelles.
Aussi la fabrication des draps atteignit bientôt son apogée et le chef de cette maison, à laquelle affluaient les distinctions de tout genre, était-il reconnu comme le premier industriel du pays et l’un des plus grands manufacturiers du continent européen.
anecdote
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armoiries |
À l'affût du progrès technique et d'une hardiesse dynamique dans la recherche de débouchés étrangers. L'exportation n'était pas pour lui un vain mot : le navire qui transportait ses draps aux quatre coins du monde s'appelait... le « Raymond» !
A sa mort, Raymond Biolley laissera une fortune de plus de 6 millions de francs (100 millions € d'aujourd'hui).
L'entreprise familiale comptait alors près de 2.000 ouvriers répartis dans quatre usines. L'histoire a retenu que ce patron nouveau style avait construit «la première cité ouvrière construite en Europe». De cette splendeur de jadis, il reste encore une rue Raymond à Verviers et une rue Biolley dans le quartier où se trouvaient les usines. Sic transit gloria mundi.
La situation à l'époque
En 1816, après la période française, la Belgique pays fait partie du royaume des Pays-Bas. L'industrie textile est en train de se développer à Verviers, ville à la pointe des innovations industrielles. La bourgade se remplit toujours davantage d'une population campagnarde attirée par les possibilités d'emploi. Et les écoles? Ce qu'il en reste se porte mal.
Dans « Souvenirs verviétois » de l’abbé Georges et d’A. Remacle (1893 ?), Raymond Biolley est décrit comme un saint homme, bienfaiteur de la ville, apôtre des pauvres et personnage politique remarquable capable de cumuler les qualités d’industriels et les engagements forts envers un royaume de Belgique en train de se solidifier.
Ce paternalisme du début du 19ème siècle se colore d’une bonne couche de religiosité. A l’époque, les grandes familles textiliennes sont toutes catholiques, omniprésentes, intouchables et, pour tout dire, respectées par des travailleurs miséreux qui prendront conscience de leur condition de vie lamentable que bien plus tard.
Raymond et Edouard, son frère qui deviendra bourgmestre de Verviers, sont aussi des politiques bien inspirés. Le premier, sénateur dès 1831, est sans nul doute un des artisans de la fameuse « route du fer », c’est-à-dire la mise en ligne du réseau ferré international reliant Anvers à la Prusse via Verviers.
D’ailleurs, ce n’est pas par hasard si le roi Léopold donne au sénateur Raymond Biolley le titre de vicomte le 17 juillet 1843, jour marquant l’inauguration de la jonction vers Cologne en présence du souverain reçu par le vicomte dans son hôtel particulier de Sommeleville.
Léopold I a été reçu à l'hôtel de Biolley Le vicomte meurt à Verviers le 22 mai 1846. Il n’a que 57 ans.
Plus de dix mille personnes suivent le cortège qui se rend à Saint-Remacle, son église dont le Conseil de fabrique décide qu’un service de première classe sera célébré à perpétuité en mémoire de son bienfaiteur.
Et Saint-Remacle est, aujourd’hui encore, le miroir des de Biolley. La chaire de vérité, par exemple, représente saint Raymond et saint Edouard, prénoms des deux frères Biolley, présentant à saint Remacle les plans du sanctuaire.
Il est aussi une statue de saint Raymond,une autre de sainte Isabelle (Simonis, l’épouse de Raymond) ou encore, dans le choeur, lepanneau de Bellemans représentant la communion mystique… de saint Raymond (Nonnat).
La chaire de vérité : St Raymond, St Remacle et St Edouard En toute modestie ? pas sûr mais c’est, voici près de deux siècles, dans l’air du temps au pays de la laine où Verviers, par son industrie textile, est mondialement connu et très envié.
voir rue biolley
hôtel de biolley
rue Raymond
etc etc
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